Le tassian inarrêtable

Runner de la LSL connu pour sa montée exceptionnelle depuis ses débuts modestes en Gatuleague. Il captive les fans par sa méthode unique d’évolution : l’assimilation. Grâce à un système de viager sportif qu’il a mis en place, il acquiert légalement les corps des Smashers décédés pour améliorer ses propres performances. Cette méthode divise et fascine, mais quoi qu’il en soit, Slaze reste une figure fascinante de la ligue, poussant les limites de la biologie Tassian.

SON HISTOIRE

L'assimilation

Slaze est un Smasher de la LSL depuis sa création et il est le seul Tassian à avoir rejoint cette ligue suprême. Initialement un joueur modeste en Gatuleague, Slaze s’est amélioré progressivement, captivant finalement l’attention des Sponsors qui cherchaient à recruter leurs premiers Smashers.

Pour Slaze, le Smash Ball est une opportunité d’évolution. Qu’il gagne ou perde, il rencontre des adversaires exceptionnels dont les attributs contribuent à son évolution personnelle. En effet, comme tous les Tassians, il a la capacité d’assimiler les caractéristiques des organismes qu’il consomme.
À ses tout débuts, Slaze s’introduisait dans les cliniques pour s’emparer des corps des Smashers morts. Cette histoire a fait scandale quand elle s’est sue, mais il s’est excusé depuis !
Avec le succès, et les crédits, il a créé un système de viager qu’il propose aux Smashers performants de la Gatuleague : une rente en échange de la propriété de leur corps une fois décédés. Cette initiative s’étend aussi à d’autres athlètes, notamment les coureurs sportifs, dont les qualités bénéficient directement à Slaze en tant que Runner de Smash Ball. Beaucoup de sportifs professionnels acceptent ce marché, voyant une opportunité d’améliorer leur situation financière.

Une nourriture ?

La nature nécrophage des Tassians est bien connue, ce sont d’ailleurs des croque-morts réputés. Cependant, l’idée que les Tassians puissent choisir leur “nourriture” pour développer des traits spécifiques était inédite jusqu’à la révélation de l’origine des performances de Slaze. C’est un journaliste d’investigation spécialisé dans les drogues sportives qui a dévoilé la source des performances de Slaze.
Cette découverte a divisé les fans entre ceux fascinés par cette méthode d’optimisation naturelle et ceux qui la jugent répréhensible, estimant que les compétences de Slaze ont été « volées » et non acquises grâce à l’entraînement. Un débat qui a, pendant un temps, également relancé celui sur les performances des Éveillés au Smash Ball, qui sont directement dues à une fabrication et non à un entraînement et qui doivent être régulées/bridées en fonction des situations.

L'évolution

On trouve maintenant deux principaux courants chez les fans de Slaze :

  • Les Slazers qui désirent voir jusqu’où Slaze pourra évoluer. On aime l’imaginer sans limites. Il existe des fan fictions mettant en scène ce qui se passerait si Slaze absorbait tel ou tel Smasher légendaire et incorporait ses qualités.
  • Les Slashers qui s’identifient à lui et veulent devenir comme lui. La plupart sont cannibales. Les plus fortunés proposent le même pacte à des victimes, de l’argent en échange de leurs corps. D’autres préfèrent chasser illégalement leurs congénères. Les moins réalistes imaginent ce que serait leur vie s’ils ingéraient Slaze.

Le succès de Slaze a fait écho chez nombre de Tassians qui ont, eux aussi, décidé de forcer leur évolution en cherchant des « experts » et en achetant ou en chassant leurs corps. Un marché parallèle est né où se mène une véritable compétition pour les meilleurs corps.

Pour répondre à cette demande, Laziel expérimente Boody, une application qui évalue la valeur du corps d’une personne en fonction de ses performances (mentales, physiques…) et son état (vie saine, exposition au danger, aux radiations…). Bien que destinée à maximiser le profit post-mortem, Boody est aussi utilisée par des chasseurs de corps et des Slashers à la recherche de cibles précieuses encore bien vivantes.

Le parfait organisme

Des associations accusent régulièrement Slaze et demandent justice pour la disparition de nombreux Smashers évoluant au rôle de Runner en Gatuleague. Aucune preuve concrète n’est jamais fournie, ce qui, d’après les plaignants, serait dû au fait que les Tassians digèrent l’intégralité des corps qu’ils récupèrent. Bien que les avocats de Slaze balayent facilement toutes les accusations qui ciblent leur client, cela n’empêche pas les rumeurs de courir lorsqu’un Smasher disparaît mystérieusement.

Slaze ne cache pas être fortement intéressé par le Smasher Logan et sa rapidité légendaire. Il a déjà « acheté » les corps de trois des « rebuts » de la famille Dolan et en a absorbé l’un d’entre eux décédé récemment. Cela a éveillé son appétit. Il veut désormais les gènes de Logan et pourquoi pas de son père Muran, Coach en LSL. La famille Dolan a catégoriquement refusé les offres jusqu’ici. Slaze espère qu’elle pourrait reconsidérer sa position si la popularité de Logan venait à décroître et qu’il se faisait éjecter de la LSL. Mais les résultats de Logan sont pour le moment exemplaires et Slaze doit porter son appétit ailleurs. Cependant, depuis quelque temps, Logan semble avoir changé et épousé une vie moins ordonnée, et plus… chaotique. Cela pourrait-il être un signe que le Smasher entame enfin son déclin ? Slaze est patient.

Les nouvelles pratiques

L’un des effets directs sur la société de la « mode » lancée par Slaze est celui de la viande parallèle. Pour répondre à la demande des Tassians et des Slashers, certains éleveurs, appelés « néo-éleveurs », vont jusqu’à modifier génétiquement leurs animaux pour les rendre plus forts, plus rapides. Évidemment, face à ces nouvelles pratiques, des lobbies de bouchers prônent le retour aux valeurs de la viande naturelle, et de nombreux militants animaliers s’indignent pour ces pauvres bêtes élevées sous perfusions et poussées à des performances extrêmes.
Les néo-éleveurs ont jusqu’ici gagné en arguant que cela limitait la tentation des Tassians de s’emparer de corps « pas tout à fait morts ». Reste que la viande modifiée est gorgée de toxines et de produits chimiques qui ont déjà causé des maladies graves chez les consommateurs (y compris chez certains Tassians) mais, apparemment, tout le monde s’en fout !

null

Le tassian inarrêtable

Runner de la LSL connu pour sa montée exceptionnelle depuis ses débuts modestes en Gatuleague. Il captive les fans par sa méthode unique d’évolution : l’assimilation. Grâce à un système de viager sportif qu’il a mis en place, il acquiert légalement les corps des Smashers décédés pour améliorer ses propres performances. Cette méthode divise et fascine, mais quoi qu’il en soit, Slaze reste une figure fascinante de la ligue, poussant les limites de la biologie Tassian.

SON HISTOIRE

L'assimilation

Slaze est un Smasher de la LSL depuis sa création et il est le seul Tassian à avoir rejoint cette ligue suprême. Initialement un joueur modeste en Gatuleague, Slaze s’est amélioré progressivement, captivant finalement l’attention des Sponsors qui cherchaient à recruter leurs premiers Smashers.

Pour Slaze, le Smash Ball est une opportunité d’évolution. Qu’il gagne ou perde, il rencontre des adversaires exceptionnels dont les attributs contribuent à son évolution personnelle. En effet, comme tous les Tassians, il a la capacité d’assimiler les caractéristiques des organismes qu’il consomme.
À ses tout débuts, Slaze s’introduisait dans les cliniques pour s’emparer des corps des Smashers morts. Cette histoire a fait scandale quand elle s’est sue, mais il s’est excusé depuis !
Avec le succès, et les crédits, il a créé un système de viager qu’il propose aux Smashers performants de la Gatuleague : une rente en échange de la propriété de leur corps une fois décédés. Cette initiative s’étend aussi à d’autres athlètes, notamment les coureurs sportifs, dont les qualités bénéficient directement à Slaze en tant que Runner de Smash Ball. Beaucoup de sportifs professionnels acceptent ce marché, voyant une opportunité d’améliorer leur situation financière.

Une nourriture ?

La nature nécrophage des Tassians est bien connue, ce sont d’ailleurs des croque-morts réputés. Cependant, l’idée que les Tassians puissent choisir leur “nourriture” pour développer des traits spécifiques était inédite jusqu’à la révélation de l’origine des performances de Slaze. C’est un journaliste d’investigation spécialisé dans les drogues sportives qui a dévoilé la source des performances de Slaze.
Cette découverte a divisé les fans entre ceux fascinés par cette méthode d’optimisation naturelle et ceux qui la jugent répréhensible, estimant que les compétences de Slaze ont été « volées » et non acquises grâce à l’entraînement. Un débat qui a, pendant un temps, également relancé celui sur les performances des Éveillés au Smash Ball, qui sont directement dues à une fabrication et non à un entraînement et qui doivent être régulées/bridées en fonction des situations.

L'évolution

On trouve maintenant deux principaux courants chez les fans de Slaze :

  • Les Slazers qui désirent voir jusqu’où Slaze pourra évoluer. On aime l’imaginer sans limites. Il existe des fan fictions mettant en scène ce qui se passerait si Slaze absorbait tel ou tel Smasher légendaire et incorporait ses qualités.
  • Les Slashers qui s’identifient à lui et veulent devenir comme lui. La plupart sont cannibales. Les plus fortunés proposent le même pacte à des victimes, de l’argent en échange de leurs corps. D’autres préfèrent chasser illégalement leurs congénères. Les moins réalistes imaginent ce que serait leur vie s’ils ingéraient Slaze.

Le succès de Slaze a fait écho chez nombre de Tassians qui ont, eux aussi, décidé de forcer leur évolution en cherchant des « experts » et en achetant ou en chassant leurs corps. Un marché parallèle est né où se mène une véritable compétition pour les meilleurs corps.

Pour répondre à cette demande, Laziel expérimente Boody, une application qui évalue la valeur du corps d’une personne en fonction de ses performances (mentales, physiques…) et son état (vie saine, exposition au danger, aux radiations…). Bien que destinée à maximiser le profit post-mortem, Boody est aussi utilisée par des chasseurs de corps et des Slashers à la recherche de cibles précieuses encore bien vivantes.

Le parfait organisme

Des associations accusent régulièrement Slaze et demandent justice pour la disparition de nombreux Smashers évoluant au rôle de Runner en Gatuleague. Aucune preuve concrète n’est jamais fournie, ce qui, d’après les plaignants, serait dû au fait que les Tassians digèrent l’intégralité des corps qu’ils récupèrent. Bien que les avocats de Slaze balayent facilement toutes les accusations qui ciblent leur client, cela n’empêche pas les rumeurs de courir lorsqu’un Smasher disparaît mystérieusement.

Slaze ne cache pas être fortement intéressé par le Smasher Logan et sa rapidité légendaire. Il a déjà « acheté » les corps de trois des « rebuts » de la famille Dolan et en a absorbé l’un d’entre eux décédé récemment. Cela a éveillé son appétit. Il veut désormais les gènes de Logan et pourquoi pas de son père Muran, Coach en LSL. La famille Dolan a catégoriquement refusé les offres jusqu’ici. Slaze espère qu’elle pourrait reconsidérer sa position si la popularité de Logan venait à décroître et qu’il se faisait éjecter de la LSL. Mais les résultats de Logan sont pour le moment exemplaires et Slaze doit porter son appétit ailleurs. Cependant, depuis quelque temps, Logan semble avoir changé et épousé une vie moins ordonnée, et plus… chaotique. Cela pourrait-il être un signe que le Smasher entame enfin son déclin ? Slaze est patient.

Les nouvelles pratiques

L’un des effets directs sur la société de la « mode » lancée par Slaze est celui de la viande parallèle. Pour répondre à la demande des Tassians et des Slashers, certains éleveurs, appelés « néo-éleveurs », vont jusqu’à modifier génétiquement leurs animaux pour les rendre plus forts, plus rapides. Évidemment, face à ces nouvelles pratiques, des lobbies de bouchers prônent le retour aux valeurs de la viande naturelle, et de nombreux militants animaliers s’indignent pour ces pauvres bêtes élevées sous perfusions et poussées à des performances extrêmes.
Les néo-éleveurs ont jusqu’ici gagné en arguant que cela limitait la tentation des Tassians de s’emparer de corps « pas tout à fait morts ». Reste que la viande modifiée est gorgée de toxines et de produits chimiques qui ont déjà causé des maladies graves chez les consommateurs (y compris chez certains Tassians) mais, apparemment, tout le monde s’en fout !

Retrouvez le dans ces projets