Esnu, métisse aux capacités de métamorphose uniques, navigue avec aisance entre les identités, tantôt séductrice énigmatique, tantôt prédatrice charismatique. Militante infatigable contre le spécisme et la pureté génétique, son passé tumultueux forge son désir ardent de justice et d’égalité. Utilisant sa renommée pour défier l’ordre moral et promouvoir la diversité, Esnu incarne la rébellion contre les conventions, armée de son charme et de sa détermination à transformer la société. Et au passage, elle organise les meilleures orgies de tout Gatûl !
SON HISTOIRE
Le métissage
Esnu est une gadjen. C’est ainsi que l’on nomme les rejetons difformes issus de métissage interespèces interdits. Quand deux espèces à la compatibilité presque similaire mais trop différente se reproduisent, il arrive qu’une procréation ait tout de même lieu. Ces enfants sont le plus souvent dits monstrueux et ne vivent pas longtemps en raison de problèmes de santé inhérents. Esnu est à l’extrême de cet état, puisqu’elle est elle-même la fille d’une mère déjà métisse interdite. Ce double métissage a fait d’elle une créature unique, une mutante capable de manipuler son corps et ses gènes instables.
Esnu est aujourd’hui une des légendes de la LSL et elle brille dans certaines hautes instances de la société gatulienne. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Rejetée, repoussée, haïe, elle a appris à utiliser tout ce que sa génétique avait à proposer pour survivre et trouver sa voie dans l’univers.
La rumeur
Ce que l’on sait de la vie d’Esnu est pour la plupart issu de rumeurs, et reste à ce jour peu vérifiable. Sa mère était une prostituée gadjen, qui a élevé Esnu en secret jusqu’à ses huit ans. C’est alors que la pauvreté et la maladie ont forcé la femme à “révéler la vérité” et demander de l’aide au père présumé de sa fille. Il s’agit de Jarak Segdar, l’actuel guide suprême du parti pour la conservation de la pureté génétique des espèces fondatrices de Gatûl (le PPCPGEFC), un parti politique très puissant, et farouchement opposé aux unions interespèces, même sans but reproductif.
Hélas, l’aide demandée par la mère d’Esnu vint sous la forme de brutes qui battirent la gadjen à mort et incendièrent la maison. Esnu ne dut sa survie qu’à sa capacité métamorphique qui lui permit de fuir par une canalisation. Bien sûr, encore aujourd’hui il est impossible de prouver toute cette histoire et le principal intéressé dément fermement toutes ces allégations. Esnu elle-même se refuse à commenter les rumeurs en un sens ou l’autre, même si beaucoup la soupçonnent d’en être l’instigatrice pour des raisons marketing.
Quoi qu’il en soit, Esnu survécut seule. Se prostituant tout d’abord, ses mutations faisant d’elle une créature rare et chère. L’argent aidant, elle fit valoir son second talent : un véritable don pour la sculpture et la beauté. Devenue la coqueluche du Gatûl huppé pour ses œuvres provocatrices et semi-organiques, elle entre dans le cercle de plusieurs personnes influentes, dont la diva Xel’Selia. Par le biais de cette personnalité, Esnu découvre un monde artistique plus tolérant et plus ouvert à toutes sortes de “pratiques”.
L'extrêmiste
Devenue une légende de l’art sexuel sous toutes ses formes, sculptures et pratiques, Esnu utilise sa renommée pour s’opposer à tout ce que représente le PPCPGEFC : le spécisme et la pureté génétique, et l’ordre moral en général. Elle s’est fait l’égérie de plusieurs campagnes de « diversité » dans la mode, mais également la politique. Elle n’hésite pas à appuyer certains mouvements extrêmes artistiques qui dénigrent la banalité et le conformisme, essayant de faire accepter les pratiques sexuelles extrêmes comme des activités sportives ou culturelles « edgy ». Elle est aussi soupçonnée d’avoir fondé des groupes extrémistes de destruction de symboles de l’ordre moral : lieux de culte, œuvres, statues de personnages moralistes…
Les fans d’Esnu sont nombreux, mais tous ne sont pas intéressés par ses performances sportives. On trouve parmi ceux-ci un grand nombre de marginaux ou d’obsédés attirés par les manifestations spontanées de group-sex lorsque les fans, les « Sex-Nu », se regroupent.
Les relations
Alors que depuis des années une relation entre Xel’Selia et Esnu est source de rumeurs, la diva semble avoir pris ses distances avec Esnu. Certaines sources suggèrent que ce sont les conseillers marketing de Xel’Selia qui lui ont conseillé de prendre ses distances pour ne pas mélanger leur image de marque. D’autres pensent que cela est dû à la nouvelle relation présumée entre Xel’Selia et le chaotique Racksen. Quoiqu’il en soit, cette saga capte l’imagination populaire, qui attend avec impatience le prochain épisode… et puis, quelques photos scandaleuses et indiscrètes des protagonistes ne seraient pas pour déplaire aux fans…
la gadjen séductrice
Esnu, métisse aux capacités de métamorphose uniques, navigue avec aisance entre les identités, tantôt séductrice énigmatique, tantôt prédatrice charismatique. Militante infatigable contre le spécisme et la pureté génétique, son passé tumultueux forge son désir ardent de justice et d’égalité. Utilisant sa renommée pour défier l’ordre moral et promouvoir la diversité, Esnu incarne la rébellion contre les conventions, armée de son charme et de sa détermination à transformer la société. Et au passage, elle organise les meilleures orgies de tout Gatûl !
SON HISTOIRE
Le métissage
Esnu est une gadjen. C’est ainsi que l’on nomme les rejetons difformes issus de métissage interespèces interdits. Quand deux espèces à la compatibilité presque similaire mais trop différente se reproduisent, il arrive qu’une procréation ait tout de même lieu. Ces enfants sont le plus souvent dits monstrueux et ne vivent pas longtemps en raison de problèmes de santé inhérents. Esnu est à l’extrême de cet état, puisqu’elle est elle-même la fille d’une mère déjà métisse interdite. Ce double métissage a fait d’elle une créature unique, une mutante capable de manipuler son corps et ses gènes instables.
Esnu est aujourd’hui une des légendes de la LSL et elle brille dans certaines hautes instances de la société gatulienne. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Rejetée, repoussée, haïe, elle a appris à utiliser tout ce que sa génétique avait à proposer pour survivre et trouver sa voie dans l’univers.
La rumeur
Ce que l’on sait de la vie d’Esnu est pour la plupart issu de rumeurs, et reste à ce jour peu vérifiable. Sa mère était une prostituée gadjen, qui a élevé Esnu en secret jusqu’à ses huit ans. C’est alors que la pauvreté et la maladie ont forcé la femme à “révéler la vérité” et demander de l’aide au père présumé de sa fille. Il s’agit de Jarak Segdar, l’actuel guide suprême du parti pour la conservation de la pureté génétique des espèces fondatrices de Gatûl (le PPCPGEFC), un parti politique très puissant, et farouchement opposé aux unions interespèces, même sans but reproductif.
Hélas, l’aide demandée par la mère d’Esnu vint sous la forme de brutes qui battirent la gadjen à mort et incendièrent la maison. Esnu ne dut sa survie qu’à sa capacité métamorphique qui lui permit de fuir par une canalisation. Bien sûr, encore aujourd’hui il est impossible de prouver toute cette histoire et le principal intéressé dément fermement toutes ces allégations. Esnu elle-même se refuse à commenter les rumeurs en un sens ou l’autre, même si beaucoup la soupçonnent d’en être l’instigatrice pour des raisons marketing.
Quoi qu’il en soit, Esnu survécut seule. Se prostituant tout d’abord, ses mutations faisant d’elle une créature rare et chère. L’argent aidant, elle fit valoir son second talent : un véritable don pour la sculpture et la beauté. Devenue la coqueluche du Gatûl huppé pour ses œuvres provocatrices et semi-organiques, elle entre dans le cercle de plusieurs personnes influentes, dont la diva Xel’Selia. Par le biais de cette personnalité, Esnu découvre un monde artistique plus tolérant et plus ouvert à toutes sortes de “pratiques”.
L'extrêmiste
Devenue une légende de l’art sexuel sous toutes ses formes, sculptures et pratiques, Esnu utilise sa renommée pour s’opposer à tout ce que représente le PPCPGEFC : le spécisme et la pureté génétique, et l’ordre moral en général. Elle s’est fait l’égérie de plusieurs campagnes de « diversité » dans la mode, mais également la politique. Elle n’hésite pas à appuyer certains mouvements extrêmes artistiques qui dénigrent la banalité et le conformisme, essayant de faire accepter les pratiques sexuelles extrêmes comme des activités sportives ou culturelles « edgy ». Elle est aussi soupçonnée d’avoir fondé des groupes extrémistes de destruction de symboles de l’ordre moral : lieux de culte, œuvres, statues de personnages moralistes…
Les fans d’Esnu sont nombreux, mais tous ne sont pas intéressés par ses performances sportives. On trouve parmi ceux-ci un grand nombre de marginaux ou d’obsédés attirés par les manifestations spontanées de group-sex lorsque les fans, les « Sex-Nu », se regroupent.
Les relations
Alors que depuis des années une relation entre Xel’Selia et Esnu est source de rumeurs, la diva semble avoir pris ses distances avec Esnu. Certaines sources suggèrent que ce sont les conseillers marketing de Xel’Selia qui lui ont conseillé de prendre ses distances pour ne pas mélanger leur image de marque. D’autres pensent que cela est dû à la nouvelle relation présumée entre Xel’Selia et le chaotique Racksen. Quoiqu’il en soit, cette saga capte l’imagination populaire, qui attend avec impatience le prochain épisode… et puis, quelques photos scandaleuses et indiscrètes des protagonistes ne seraient pas pour déplaire aux fans…